vendredi 31 octobre 2014

LA PISSALADIÈRE

                   


                     Cette "recette" de la "pissaladière",
                  nous à été concoctée et imagée par Robert


                              L'historique est intéressant
                  et le résultat savoureux, à partager entre amis.



         Cette "recette"
         est tout à fait personnelle,

                TRANSMISE DE MÉMOIRE FAMILIALE.
                    Et …. CHUTT …. C’est un secret !

Qui n’est protégé par aucun copyright,  il est donc recommandé de n’en parler qu’avec Parcimonie,
 (et encore, celle-là, vu ses antécédents, je ne lui fais pas trop confiance).
Mais meffi, je serais étonné qu’il n’y eu quelque curieux qui ne veuille vous tirer les vers du nez, et je suis circonspect quant à vos possibilités de résister à la pression populaire.
Après chaque dégustation, vous serez sollicité et l’on vous demandera de dévoiler le secret, prenez donc garde.
Je vous fais confiance, il serait vraiment dommage que tout le monde se régala autant que nous.

- "La pissaladière" :
Cette recette a été créée, testée, suivant les préceptes établis de mémoire mentonnaise et essayée  par nombre de personnes qui s’en lèchent encore les doigts. L’histoire à les mêmes origines
—Les images marquées  « la  C M » ont été extraites de « la Cuisine Mentonnaise »
édité par  la « Société d’Art et d’Histoire du Mentonnais ».

Les textes relatifs aux dessins et photos sont en mentonnais.
—"Nissa la belle" est interprétée  par mes amis du « Corou de Berra »

—Gourmandise provençale s'il en est une, la "pissaladière", était, comme son nom l'indique, faite à l’origine, avec du "pissala".

—J'ai dans mes souvenirs, l'image d'une dame d'un âge certain, (elle vieillissait alors que je grandissais), qui portait le surnom prestigieux de "Tatoune"  et qui, avant même mon enfance,  faisait la une du marché couvert de "Menton", vendant les produits de sa confection, au chaland local et aux touristes de plus en plus nombreux au fils des ans.
- Le marché de Menton :




- "La Tatoune" :
et ses produits typiquement provençaux



 

—Cette personne a tellement marqué son passage, par son assiduité au travail et son don de communicabilité, véritable colporteur sédentaire des produits nourrissants du terroir, que la mairie a décidé d'ériger, en son honneur, une plaque commémorative,




 
La plaque commémorative   à l'endroit même où elle officia pendant  53 ans.


- Les souvenirs :

—Ce détail relaté pour vous amener à savoir que cette spécialité, "la pissaladière", n'est pas un simple plat provençal, il y a, pour moi et certainement pour beaucoup de mes contemporains, dans le tréfonds de ce met, aussi bien une dose considérable de nostalgie qu'une saveur de souvenirs délectables dosés d'un mélange de harangue, de cris en "mentonnais", de couleurs et d'odeurs de "Provence".

—(si bien chantés par François Gilbert Léopold Silly, chanteur provençal dénommé Gilbert Bécaud),
—Le tout  saupoudré de  chaleur diffusée  par  le soleil qui dardait allègrement ses rayons surchauffés
  sur  notre jeunesse.
 
- Les oignons, la poêle, le couteau, l'huile :




- "Le pissala" :
 
Un pêcheur mentonnais




—Revenons à nos moutons ou plutôt à nos oignons qui en l'occurrence n'en sont pas encore, (des oignons) mais qui le deviendront plus tard.
—Le « pissala » surnommé aussi
  « maquet ou makèt’ » père suprême de la "pissaladière" est tiré, comme  ses noms ne l'indiquent pas, —…………………. de l'anchois.

 
-  Les poissons :


- Un peu d’histoire :
—Il est intéressant de savoir qu'au moyen âge, la pêche et le cabotage  étaient les activités prédominantes des villes de la côte méditerranéennes,  (Menton, port déjà important pour l’époque, environ 4500 âmes).
—En ces temps, le commerce par bateaux, permettait d’exporter, vers les pays d'orient et du nord de l'Europe  actuelle, les denrées produites sur place  tout en nous rapportant celles qui faisaient défaut    dans nos contrées pauvres.
— 
- Un beau bateau caboteur : 


 
- Les citrons, les olives, les châtaignes : 

—- Le commerce :

—Ainsi voyait-on exporter des  agrumes et plus spécialement des citrons, des olives,

des châtaignes (venant de l'arrière-pays) et recevait-on des épices, des légumes secs, (provenant             du sud de l'Italie), et des poissons séchés qui n'avaient pas  la bonne idée de croiser dans notre mer,
trop chaude pour eux, (la morue ou Thorfish).

Sachant que le bord de mer provençal  abritait nombre de bateaux de pêche,  il est facile de comprendre que la nourriture locale se trouva fortement influencée par la production du cru, « le poisson », ainsi que par les apports des bateaux marchands.

- Les "recettes" concurrentes :

—En ce qui concerne celles-ci, il reste un plat régional que l'on connaît de moins en moins,                          le « Stockfisch », « a stocaficada », (souvenir parvenu de Norvège),(ce terme vient-il de Thorfisch, mot qui était inscrit sur les caisses en bois de morue salée ? bien malin qui pourrait le dire), cette autre recette de notre région dont le goût est incomparable et qui ne plaît pas à tout le monde, est faite à base de morue et d’une petite quantité de leurs boyaux dessalés, (ce qui donne ce goût très spécial, apprécié pratiquement par les seuls mentonnais), agrémentés  d’olives  et de tomates, de pommes de terre.

 
- La socca :
—Et la fameuse « socca », faite avec de la farine de pois-chiches (importés du Sud italien, bientôt cultivés sur place).


- Les origines :

—En ce qui concerne notre pissaladière, il s'avère que,  de tout temps, l'anchois, qui prolifère allègrement en "Méditerranée", n'a pas été un poisson très prisé.  
Les pécheurs se trouvant  avec un produit difficilement vendable, et, dans ces périodes où la faim toquait à chaque porte, ils eurent tôt fait de trouver plusieurs solutions pour utiliser leur surplus. Salés, ou à l’huile, ces poissons trouvèrent rapidement l'emploi que nous leur connaissons, broyés et aromatisés ils donnèrent cette mixture que nous appelons le PISSALA ou le MAKET, qui se prononce en mentonnais « ou makèt’ »

-"La pissaladière" : 
La planche, le rouleau, la farine



Ce produit du cru, d'abord étalé sur du pain, couvrit bientôt une pâte à cuire, avant de passer le tout au four.

Et voilà,
 « A Pishada » était née.


De nos jours, le produit portant ce nom n'a plus rien à voir avec son origine. Suivant les producteurs ou les revendeurs,  cette "tarte à l'oignon" comme disait la Tatoune, en exagérant l’accent parisien pour  se moquer des touristes, s'appelle soit "pissaladière" (à l’oignon), soit "pishade" ou "pichade"  (à d’autres ingrédients)  ( les seconds étant du patois francisé « a pishada in mentounasc »).
Par contre on trouve sur les marchés, plusieurs sortes de productions qui me semblent quelque peu fantaisistes allant de la "pissaladière" à l'oignons, à la "pishade" à la "tomate", en passant par celles aux aubergines avec pour apothéose la "pishade" aux artichauts, suivies de près par des copies effrontées de "pizzas" qui n'ont plus rien de napolitaines, délaissant sans vergogne la vraie "pishade" de nos ancêtres garnie au "pissala". (La Tatoune en vendait encore).
Que diantre, il faut bien contenter le chaland.
Le client n'est-il pas roi et le chiffre d'affaire prince consort.
Après cette visite historique nous allons plonger dans le vif du sujet et nous pencher plus précisément sur la "pissaladière" faite à l'oignon (réputée niçoise),  et qui a depuis de longues décennies détrôné sa mère faite au "pissala".


"La pissaladière" :


Pour cette préparation j'utilise une plaque en tôle bronzée de 25 cm par 35 cm sur 1 cm ½ de haut.

La plaque bronzée

J'affectionne la plaque rectangulaire car, avec elle, il est possible de couper notre pissaladière en carrés de plus ou moins grandes dimensions suivant leurs destinations : apéritive ou entrée.

Sachant que vous ne détenez pas forcement cet ustensile dans vos placards, je vous donnerai aussi des doses correspondant à un plat rond de 31 cm, ce qui vous permettra de confectionner 8 parts raisonnables.

 
- Le plat en verre :



En "hors-d'œuvre"


Dans ce cas, cette délicieuse “tarte à l'oignon”, légèrement réchauffée s'accompagnera d'une salade verte de saison, de préférence une roquette tendre.
Certaines personnes attribuent la  paternité de la pishade à la principauté de Monaco. Il me suffit de rappeler que cette principauté, que j'apprécie car elle fait partie intégrante de ma vie, n’était qu’une petite bourgade, d’environ 1500 habitants alors que Menton, étant aussi terre des "Grimaldi " de 1346 jusqu’à 1848, en comptait trois fois plus. Les échanges entre les deux communautés ne manquèrent certainement pas,  et une des plus grande conserverie d'anchois s'est trouvée installée dans le quartier de Fonvieille, à Monaco, pendant de nombreux lustres.
 (Menton ne devint française qu’en 1861, par plébiscite, après le conté de Nice et de Savoie 1860).

Pour ma part, je reste convaincu que la pishade, à la tomate, répondrait mieux à l'identité monégasque.
Ce qui revient à dire que :
- la pissaladière (à l'oignon) serait originaire de Nice ;
- la pishade (à la tomate) viendrait de Monaco ;
- tandis que Menton aurait engendré  la mère de toutes ses spécialités, a pischada (au maquet) hélas pratiquement disparue des étals, mais encore bien présente dans les fours et pas seulement chez les vieux mentonnais.

- La planche, la farine, l"huile, les oignons :

Allez au boulot :

Après cette petite leçon d'histoire du cru, passons à la phase travail.

- Les ingrédients de la pissaladière :





—- Préparez la pâte :

—Une bonne 1/2 heure avant de commencer, dans un ½ verre d’eau très fraîche, faites fondre la levure ;

—Mélangez sel et farine  faites une fontaine et versez l’huile et l’eau de la levure ;
—Mélangez puis rajoutez de l'eau très fraîche jusqu'à obtenir une pâte souple ;
—Laissez la reposer une heure, en hauteur, dans un plat profond recouvert d'un torchon, la différence de température la fera monter.
Personnellement je l'installe directement dans ma plaque ou plat. Certains le font en deux étapes,
1 ere étape laisser monter dans un saladier ;
2 eme —étape étaler dans la plaque/plat et laisser monter une nouvelle fois.

—Pendant ce temps épluchez et émincez l’ail et les oignons séparément.

  - Les oignons de la pissaladière :


—Et après  les oignons  et l’ail ?

—Après vous être séché les yeux, mettez les à cuire dans une cocotte, (non pas les yeux, les oignons bien sûr) en ayant auparavant fait chauffé ⅓  de votre quantité d'huile d’olives sans que elle-ci ne sente l'huile surchauffée.

—Salez légèrement, poivrez, mettez des herbes de Provence si cela vous chante, pour ma part je n'en mets pas, laissez revenir quelques minutes puis versez  2/3 d'un verre d'eau.

— —Laissez cuire lentement sans couvercle, en surveillant, —l'oignon va rendre son jus et celui-ci doit s'évaporer entièrement, remuez de temps à autre et surveillez la cuisson.

Lorsque le jus des oignons aura évaporé, les tranches des Alliaceae commenceront à s'attacher au fond de votre casserole, ajoutez 1/2 verre d'eau et remuez. C'est à ce moment là que vous réussissez la couleur de votre préparation, qui devrait avoir un blond plus ou moins clair.
Attention, à la cuisson au four, cette couleur risque de foncer.

Si vous aimez les anchois, je vous conseille d'en ajouter un ou deux filets, ils fondront à la cuisson, il ne restera que le goût.


Il faudra compter 1 h 1/2, (sauf cuisson à basse température), à contrôler en gouttant. Les oignons ne doivent pas être craquants mais au contraire fondre dans la bouche. Ajoutez l'ail vers la fin de la cuisson. L'ail trop cuit n'a plus de goût.

—- La garniture:

—Lorsque la pâte aura levé à votre goût, étalez les oignons dessus.

—Si vous destinez cette préparation à un apéritif, vous ajouterez une olive par portion de 2 cm sur 2 cm.
—Pour une entrée   (parts de 6 cm x 6 cm)une olive par part est suffisante.
—Une gousse d'ail (avec sa peau), ou un filet   d'anchois peuvent  aussi agrémenter de façon
   avantageuse suivant le goût de chacun.
 
- La cuisson de la pissaladière : 





 
- Les "pishades", les "pissaladières" :




Hé, Ho, ……. Partez pas, c’est pas fini.

—Lorsqu'il me reste des oignons, je les fais recuire lentement en ajoutant du sucre et de l'eau jusqu'à ce qu'ils  deviennent une purée, éventuellement écrasée à la fourchette.
—Comme une confiture, et je sers sur des toasts, (rondelles de pain séché au four).
—Vos invités se lécheront les doigts au détriment de toute convenance.
—S’il me reste de la pâte, je la façonne sous forme de pain et je la laisse lever un peu plus, puis elle va au four avec ¼ d'heure de plus de cuisson. À surveiller.
—                
 ET  VOILA RÉGALEZ VOUS.

 Bien sûr, cuite au bois elle aura une autre saveur.

Le four à bois.




GARANTIE VICES CACHÉS

                Dans la famille droits et garanties je voudrais la fille, (Garantie vices cachés).

LE CONTEXTE :
Lorsque vous achetez un produit, qu'il soit mécanique, informatique ou autre, il y a toujours la possibilité qu'il ait un défaut de réalisation.
Ce point est souvent garanti par les "garantie constructeur" (gratuite) ou "garantie commerciale" (moyennant finance).
Mais que se passe-t-il lorsque vous découvrez que votre appareil à un défaut de fabrication, que ce défaut ne peut, en aucun cas, provenir d'une mauvaise manipulation ou d'une usure normale et que votre garantie est terminée ?
En général vous entendez votre vendeur vous dire "DÉSOLÉ, vous n'êtes plus sous garantie".

ET POURTANT :

Et pourtant, il vous reste pour vous défendre la solution - GARANTIE VICES CACHÉS - (assumée par le constructeur).

Quelle que  soit la date d'achat, quelles que soient les conditions d'utilisation, même acheté d'occasion, si vous pouvez prouver le vice caché, vous avez deux ans maxi, (à partir du moment où le défaut est officiellement constaté), pour faire votre déclaration et pour demander la réparation, voire le remplacement ou le remboursement de l'appareil.
Autrement dit, si votre appareil n'est plus sous garantie et qu'il ne fonctionne plus à cause d'un vice caché, (c'est à dire que vous ne pouviez voir lors de son achat), vous pouvez avoir recours à cette garantie sans limite dans le temps.
Ainsi, les téléphones portables, qui après le temps de garantie ne fonctionnent plus normalement, (se mettent en attente, ne sonnent plus, se déconnectent sans raison, ne vous affichent pas les bons contacts, refusent de nouveaux contacts, effacent les anciens, etc), sont victimes d'un dysfonctionnement du logiciel qui gère le système d'exploitation, ce qui ne peut être imputé à une mauvaise utilisation, ni à une usure et tombe ainsi sous le coup de la garantie vives cachés.
Les batteries et chargeurs ne sont pas concernés par cette garantie.
ATTENTION : les fabricants ne sont pas idiots, s'il y a vice caché et s’ils doivent réparer ou remplacer, il est possible qu'ils appliquent une vétusté à l'appareil en question, vétusté qu'il faudra certainement négocier.

LA LOI :

La loi dans ce domaine est très claire. Voici le texte copié et le lien qui va vous permettre de la consulter.
La particularité se trouve dans le dernier paragraphe "Attention", qui stipule clairement que cette garantie s'applique à partir de la date de la découverte du défaut et non pas de la date d'achat.




Dans quel délai agir ?

Vous avez 2 ans à partir de la découverte du défaut caché pour mettre en œuvre la garantie et saisir la justice.

LE LIEN :
Ce lien vous conduira au site officiel SERVICE PUBLIC.FR,  où toutes les démarches sont expliquées en détail.

Garantie légale des vices cachés

Mise à jour le 11.09.2013 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) 

SERVICES PUBLICS.FR

Si le lien ne fonctionnait pas, copiez-le et collez-le dans votre barre de recherche.

 Bien à vous Pierre-Louis.


Note de l'auteur :
Mon téléphone portable, Galaxy Note.
- prix d’achat plus de 700.oo €
- Payé il y a plus de deux ans, (avec mes points) environ 350.oo €
- Déclaré irréparable gratuitement par Bouygues (date de garantie dépassée), (Coût de la réparation 150.oo €)
- Envoyé en R-AR à SAMSUNG avec explications et rappel de la loi.
- Retour : réparé, remis au top, remplacement batterie, remplacement chargeur, remplacement câble, remplacement HP, remplacement logiciel par la dernière version,  retour chez moi, le tout gratuitement.

MARE DE SE FAIRE ARNAQUER PAR LES VENDEURS QUI VENDENT DES PRODUITS QUI, DÉS QUE LA GARANTIE EST DÉPASSÉE, NE DONNENT PLUS SATISFACTION ET SONT À  REMPLACER À NOS FRAIS, simplement par ignorance de cette loi.
JE VOUS CONSEILLE ARDEMMENT DE L'UTILISER, CHAQUE FOIS  QUE VOUS LE POUVEZ.
N'OUBLIEZ PAS DE JOINDRE LA COPIE DE LA LOI À VOTRE COURRIER.

PS :
Je remercie le fabricant SAMSUNG, pour avoir réparé mon appareil, bien au-delà de sa responsabilité.

LA DÉMARCHE SIMPLIFIÉE.
Demander à votre vendeur de faire réparer l’appareil, faire constater que celui-ci n’est pas réparable dans le cadre de l’une des garanties (constructeur ou commerciale).
Retirer l’appareil sans le faire réparer et conserver de diagnostic :
ENVOYER L’APPAREIL AVEC LE COURRIER DE RÉCLAMATION EN RECOMMANDÉ ACCUSÉ DE RÉCEPTION, joindre une copie du diagnostic.
N’oubliez pas de lire attentivement les recommandations
faites par le SERVICE PUBLIC.FR,

VOICI UN MODÈLE DU COURRIER

mercredi 22 octobre 2014

MODÈLE DE LETTRE VICES CACHÈS


LES PARTIES EN ROUGE SERONT À MODIFIER  SELON VOS BESOINS.




Messieurs,

Suite à la réponse formulée dans le bulletin d’intervention N° xxxxxxxxxxxx que m’a fait parvenir le SAV des Ets XXXXXXXXXXX, dont copie ci-jointe, je constate la description suivante :
SOFT – ÉCHEC DE MISE À JOUR SOFTWARE.
LES SYMPTÔMES :
Il est impossible d’attribuer une sonnerie à des notifications quelle qu’elles soient
Le fait d’appeler un correspondant, met la communication en attente de ce fait je n’entends pas ce que me dit mon correspondant.
Vous conviendrez avec moi, que ces problèmes sont consécutifs à un mauvais fonctionnement du système d’exploitation, la destination première de cet appareil en étant fortement compromise.
Cette panne est d’ordre informatique, faisant partie du système d’exploitation de l’appareil en réf, (donc inaccessible à l’utilisateur), et ne peut, en aucun cas, être imputée, à une usure ou une mauvaise manipulation de ma part.
Elle ne concerne ni la garantie constructeur, ni la garantie commerçant (limitées à 2 ans).
CETTE PANNE CONCERNE UN VICE CACHÉ DU LOGICIEL ET TOMBE DONC SOUS LE COUP DE L’ARTICLE 1641 à 1649 DU CODE CIVIL, DONT COPIE CI-DESSOUS.



Il en ressort que votre responsabilité de fabricant est entièrement engagée, je vous engage donc à faire le nécessaire pour que cet appareil soit remis en état, voire remplacé ou remboursé dans les plus brefs délais.
Vous souhaitant bonne réception, je vous prie de recevoir, Messieurs, mes sincères salutations.
 Cordialement.

Votre signature

PJ : Avenant au contrat de service faisant office de facture.
Copie du bulletin d’intervention (N° et nom de l’établissement ayant pratiqué le constat)

REVOIR L'EXPLICATION

Pierre-Louis


La cuisson des spaghettis,
ou des pâtes en général.
Cette façon de faire cuire les pâtes est très efficace et économique.

Amener à ébullition une casserole d'eau salée
Pour savoir si l'eau est assez salée, il suffit de la goutter.
Même à l'odeur, il est possible d'avoir se renseignement.
100 à 125 g de pâtes par personnes.
(300 g de pâtes crues = 600 g d'eau, mais l'eau doit couvrir les pâtes).
Lorsque l'eau bout, verser les pâtes, (si ce sont des spaghettis, mettre un bout dans l'eau et attendre qu'ils se ramollissent, les enfoncer petit à petit dans la casserole jusqu'à ce qu'ils entrent entièrement. Recouvrez d'eau, juste à peine.
Remuer avec une fourchette pour qu'elles ne restent pas amalgamées,
Attendre que l'eau arrive une nouvelle fois à ébullition, casserole découverte.
Couvrir la casserole et arrêter le gaz.
Vous pouvez ajouter votre sauce à ce moment, ou après la cuisson.
Si c'est une plaque électrique, retirer la casserole sur une autre plaque froide.
Laisser reposer, gouttez et remuez de temps en temps, jusqu'à ce que les pâtes soient à la consistance que vous aimez, (entre 7 et 9 mn, suivant le goût).
Normalement il ne devrait plus rester d'eau.
S'il en reste, égouttez et la prochaine fois mettez-en moins.

Voilà des pâtes qui vous auront coûté deux fois moins cher en énergie pour les faire cuire et deux fois moins d'eau. Et en plus, vous ne rejetez pas les oligos éléments dans l'évier.
Voir la cuisson lente.

Régalez-vous

Pierre-Louis

mardi 21 octobre 2014

DONNER DU GOÛT AUX OEUFS


Sauf les œufs durs,
- qu'ils soient introduits, dans les farces ;
- à la poêle
- ou toute autre cuisson,  les œufs aiment bien être saupoudrés de noix de muscade.
À pratiquer sur le jaune cru.
Ne pas pratiquer en pâtisserie où vous préférerez  la vanille le zeste d'orange ou de citron ou la fleur d'oranger.
Régalez-vous Pierre-Louis

Un domaine peu connu en cuisine,
LA CUISSON À BASSE TEMPÉRATURE

De nos jours, le temps est une notion des plus importantes et tout ce que nous faisons doit être fait rapidement, en sacrifiant à la perfection, à l’économie  et à la durabilité.
Mais très souvent, en prenant le temps de faire les choses, nous gagnerions en dépenses, en temps, et en valeur.
Cette vérité et très présente, principalement en cuisine où, depuis l’apparition du gaz à tous les étages, la cuisson, ou plutôt la production de chaleur, se fait à la demande et à la puissance espérée.



Extrait Wikipédia

 (Pancarte que l’on trouvait encore aux portes d’entrée des immeubles favorisés par cette distribution dans les années 1940/60), certaines portaient même la mention « eau et gaz à tous les étages », ce qui était une preuve de confort donc de standing.











UN PEU D’HISTOIRE :

L’apparition du confort, eau et gaz, dans les logements, date des années 1850.
À l’époque, la ménagère ou ses employés, devaient aller chercher l’eau à la source, au puit ou à la fontaine. Quant à la cuisson, elle se faisait sur des cuisinières à bois ou charbon, allumées le matin, alimentées en carburant pendant la journée et qui s’éteignaient toutes seules le soir.

LA CUISSON DE L’ÉPOQUE :

Nos grands-mères, dans les années 1800/1950, et même avant, cuisaient sur une cuisinière à bois, ou à charbon, qui fonctionnait  du matin  au soir, été comme hiver et qui servait aussi bien à  produire l’eau chaude pour la toilette, que pour la lessive ou  faire la cuisine.
En hiver, elle chauffait aussi et principalement la cuisine (pièce où elle était installée)

Notre grand-mère, dès le petit matin, commençait à éplucher les légumes, qu’elle venait de cueillir et après avoir allumé le feu de la cuisinière, mettait la soupe, prévue pour le soir, à cuire sur le coin du feu.
La casserole déposée sur le coin de la cuisinière, la soupe mijotait de 7 h du matin à 19 h, à basse température.
Il en était de même pour touts ragoûts, poulets ou plats en sauce, bien souvent préparés la veille.
Là le temps n’était pas compté mais les résultats et les goûts étaient autres.

Mais pourquoi avons-nous perdu les goûts de ces mets
qui étaient si bons ?

FAISONS UN PEU DE PLOMBERIE :

Tous les syndics de copropriétés, les plombiers, les responsables techniques dans des immeubles ou des entreprises, utilisant de l’eau chaude, connaissent bien le phénomène.
L’eau chauffée, à une température supérieure à 55/60,  dépose ses oligos-éléments, (calcium, potassium, cuivre, fer, iode, etc). Ce qui est appelé communément le calcaire qui, au bout de quelques années, fini par obstruer les conduites, jusqu’à ce que l’eau ne puisse plus passer et met aussi en panne nos chauffe-eau.
Il m’est arrivé de sortir plus de 25 Kg de calcaire de chauffe-eau (individuels) en panne, après 5 ans d’utilisation.
Ce n’est pas une évaluation, c’est une réalité, au-dessus de 55°, les oligos éléments, indispensables à nos besoins corporels, se dispersent  hors de l’élément où la nature les avait installés.
Une casserole, pleine d’eau, après plusieurs mises sur le feu, garde des traces blanches après l’évaporation de l’eau. Ces traces sont les oligos éléments qui sont en suspension dans l’eau et restent accolés à la casserole et qui, en vérité,  sont indispensables à notre santé.

LES OLIGOS ÉLÉMENTS :

Avec des valeurs différentes, chaque aliment à, en sa composition, un panel important  d’oligos éléments. Ceux-ci  contribuent au gout de ce que nous mangeons et forment les vitamines qui sont indispensables à notre vie.

REVENONS À NOTRE CUISSON :

Il se trouve que le phénomène évoqué dans le paragraphe plomberie est identique dans toutes cuissons, et dans tous les cas où la température de cuisson dépasserait les 55°.
Les éléments à cuire commencent leur cuisson à 40°, mais à partir de 55° ils déposent leurs oligos éléments dans le liquide où ils cuisent. Hors, nos habitudes prisent avec l’apparition du confort,     « Gaz à tous les étages », font que nous allumons la production de chaleur au maximum et que, pour faire cuire légumes et autres aliments, nous portons l’eau à ébullition, (100 °).

Quel est le résultat de cette façon de cuire ?
  1 )      nous  gaspillions de l’énergie, (à 45/55 ° la cuisson se fait presque  aussi vite qu’à 100°,             la différence de température correspond à de l’énergie gaspillée) ;
2)      nous ne gagnions, en temps de cuisson,  que quelques minutes ;
3)      lorsque, nous vidons l’eau de notre cuisson, nous jetons dans l’évier, tous les oligos éléments qu’elle contient, faute d’avoir fait cuire à une bonne  température.

En résumé, nous faisons du café, nous jetons le jus, et nous mangeons le marc, qui ne contient, qu’une infime partie du goût et pratiquement plus de vitamines, puis, nous compensons en nous gavant de vitamines, achetées en pharmacie ………..
Situation assez paradoxale car nous vidons dans l’évier des vitamines que nous devrons acheter ensuite, pour compenser le manque et les pertes dus à notre façon de cuire.


Expérience vécue

Dans les années 90, un distributeur de produits ménager, venant des états-unis, à essayé de s'implanter en France et par bonheur, j'eu la chance de participer à cette implantation, qui fut vite étouffée dans l'œuf, par la législation française.
Cette entreprise distribuait des produits d'entretient bio dégradables, (à l'époque c'était une nouveauté en France), des produits de maquillage et des casseroles spécialement conçues pour la cuisson à basse température.
Il m'en reste entre autre les démonstrations que nous faisions à l'époque .
 Nous faisions revenir avec un petite cuillère d'huile, un rôti de porc  d'environ 400 g.
Puis nous mettions dans ce fait-tout:
- un oignon, piqué de clous de girofles ;
- une pomme de terre épluchée ;
- une pomme ;
- une poire ;
- un navet.
- un verre d'eau
- aucun aromate, ni sel, ni poivre.
La source de chaleur (gaz) à moitié.
Le signe distinctif était que le couvercle devait tourner, sur la casserole, un peu comme une toupie.
À ce moment là, nous devions réduire l'activité de la chaleur au minimum.

Pendant ce temps, dans une casserole normale, nous faisions cuire exactement les mêmes éléments, à une température que nous dirons habituelle.
,
Lorsque la cuisson dans la casserole normale (Haute température) était arrivée à son moment adéquate,
Cette casserole était retirée du feu et les produits servis aux participants. Cela demandait plus ou moins deux minutes.
Puis nous retirions la casserole destinées à la cuisson lente et nous servions les produits cuits avec cette méthode.
Je vous garantis que jamais la cuisson à haute température n'a put égaler, en goût, la cuisson à basse température.
Dans le premier cas, les aliments avaient mélangés leurs goûts, cuit sans sel et sans aromates, il étaient fades et sans saveur, alors que, avec la cuisson à basse température, chaque aliment avait gardé son propre goût, la poire avait un goût de poire, la pomme un goût de pomme et les clous de girofle n'avaient modifié aucun des autres éléments, pas même l'oignon où ils étaient piqués. Et franchement le sel était inutile.

Pour info :

Il existerait à la frontière franco italienne, un restaurant dont le propriétaire serait un spécialiste de la cuisson à basse température, plusieurs fois primé dans cette catégorie, (12 h pour faire cuire une côte de bœuf saignante) exclusivement sur commande.

Conclusion :

Ne croyez-vous pas qu’il serait temps de penser à agir avec un peu de réflexion ?
Prendre le temps de faire les choses, avec patience et amour, réapprendre le calme et la gestion du temps et pensant simplement que, en passant un petit peu plus de temps à faire les choses, nous pouvons gagner du temps, de la qualité et améliorer les résultats.
J’en viens à constater que nos anciens, sans le savoir avaient de bonnes attitudes dictées plus par le besoin que par l’intérêt.

Pierre-Louis

Dans la famille droit et garanties je voudrais la mère
"surveillance banques, mutuelles, assurances".


Combien de fois avons nous eu des problèmes avec nos assurances, mutuelles ou banques ?

Mais que faire, ces institutions ont le pouvoir et nous pauvres utilisateurs, nous ne pouvons que nous plier à leurs exigences.

Une anecdote vécue.
Un ami, artisan, (gérant SARL), avait contracté un emprunt, afin d'investir dans un véhicule de travail.
Deux mois après le début de cet emprunt, un accident du travail le cloue en arrêt pendant un an.
Dès le lendemain de son accident, il envoie son épouse faire la déclaration d'accident à sa banque afin que celle-ci mette en place la procédure d'assurance.
Le directeur de la banque répond à cette dame :
"Mais madame, votre mari n'est pas assuré, il n'y a rien à faire".
Après un mois d'hôpital, le mari va voir son banquier et demande pourquoi l'assurance ne fonctionne pas ?
" Monsieur, répond le banquier, on n'assure jamais le gérant d'une SARL".
Sur ce renseignement, mon ami demande à la direction de la banque une facilité en reportant les paiements des mensualités jusqu'à la reprise de son activité.
Refus catégorique de la banque,  mon ami à du payer les mensualités, pendant toute son immobilisation alors qu'il n'avait aucune rentrée.
Détail intéressant, le chef de son agence bancaire n'avait pas oublié de lui demander une caution sur sa maison, ce qui l'a empêché de déposer le bilan, faute de quoi la banque aurait mis la maison en vente au enchères.
Dans cette situation il est clair que le chef de l'agence bancaire était en faute, car renseignements pris, il existait une possibilité d'assurer un gérant de SARL et le banquier est tenu de proposer une assurance garantissant le remboursement des mensualités en cas d'impossibilités physiques ou psychologiques du gérant.


Mais faute de savoir, mon ami s'est retrouvé dans une situation financière extrêmement délicate, pendant de longues années.



Pour palier à ce genre de situations et mettre les assurances, banques, mutuelles en face de leurs responsabilités, il existe un service à la BANQUE DE FRANCE où l'on peut déposer ses réclamations.

Ce service conseille et explique la marche à suivre pour avoir gain de cause, mais aussi entame une enquête sur l'institution incriminée.
Les résultats de l’enquête restent confidentiels, mais les répercutions doivent être sérieuses car, en général, l'institution en question fait marche arrière dès que l'on prononce ou écrit :
Copie à : L'AUTORITÉ DE CONTRÔLE PRUDENTIEL ET DE RÉSOLUTION.
J'ai eu à faire à des assurances qui refusaient de me rembourser.
Copie du courrier de réclamations à cette autorité et, comme par miracle, tout est rentré dans l'ordre rapidement.


Voici les coordonnées de ce service qui reçoit les doléances aussi bien par mails, que par lettres et téléphone.



Telp : 01 49 95 40 13

Adresse postale : Autorité de contrôle prudentiel et de résolution
61, Rue Taitbout  - 75 436  Paris CEDEX 09
Mails :    INFO-CLIENTELE@acpr.banque-france.fr

N'hésitez pas à vous adresser à ce service.

Autre suggestion la maison du droit et de la justice de votre ville


Pierre-Louis